charlotte – 06 Juillet 2004
charlotte – 06 juillet 2005
Rupture nette et finale des communications.
Le glaive est entré, profond.
La plaie est ouverte.
L'acide coule a flot.
Tout lui dire n'était pas la meilleure des idées. Mais l'habitude était de partager. Et c'est visiblement une habitude à perdre.
J'ai l'impression qu'il ne reste rien de nous, si ce n'est un champ de ruine.
Palmyre, Syrie.
Un désert de compréhension. Une inondation d'incompréhension.
Et de la fatigue, un océan de fatigue. Plus la même longueur d'onde, plus la même fréquence.
Mais toujours le même amour, de moi pour elle.
Ecoute-moi, crois-moi, appelle-moi, ne juge pas, parle-moi, raconte moi, explique moi, argumente moi.
Ne me perds pas.
Ne me laisse pas te perdre.
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